Mais était-il vraiment parti? The laughing introvert commence sur une introduction inutile et enchaine tranquillement sur prod éthérée et flow Chris Brownique. Ce qui est marrant dans le second morceau c’est la violence toute relative avec laquelle Stalley veut entrer en scène après un long refrain. Cela dit, ça fonctionne ! La prod est bonne et le rappeur talentueux ! On passe donc un moment dans le coton avant d’enchainer sur le troisième titre.
Nissan Skyline ouvre sur une prod typée Harry Fraud sur laquelle Stalley s’énerve un peu plus que sur le son précédent, ça y est il est réveillé ! Les backages apporte une dimension lunaire au titre qui offre un véritable décollage jusqu’à la piste suivante (Le feat PJK est anecdotique car présent uniquement sur le refrain et que Stalley maîtrise pleinement cet exercice).
Il faut attendre Glass Garages pour avoir affaire à du rap plus « classique ». Sample soul, breaks, drops, flow (re)bondissant, bref tout les ingrédients d’un bon cocktail de hip-hop. Le cinquième morceau c’est un peu la même chose que le quatrième mais avec un sample différent…
Avec Playa Way, on reviens à la structure de la première moitié du projet (son éthéré, refrain à la Chris Brown, flow lancinant) en y ajoutant la partie backages de la seconde.
Stap Signs c’est le retour du pas forcément indispensable PJK, le morceau à l’image de la collaboration n’est pas forcément indispensable lui non plus.
Conclusion : Ce projet est plaisant, mais n’apporte rien. Ni jouissif, ni mauvais on ne passe pas un mauvais moment à son écoute mais on l’oubli aussi rapidement que la vitesse à laquelle les titres s’enchaine. J’ai dû l’écouter cinquante fois avant d’écrire dessus. Il ne restera pas dans mon dd cela dit je ne serai pas mécontent de l’entendre au détour d’une soirée.
Ps: Je tiens à préciser que Stalley est l’un des seul rappeur au monde à sourire dans ses clips et rien que pour ça il à toute ma sympathie
Mill Burray
Mais était-il vraiment parti? The laughing introvert commence sur une introduction inutile et enchaine tranquillement sur prod éthérée et flow Chris Brownique. Ce qui est marrant dans le second morceau c’est la violence toute relative avec laquelle Stalley veut entrer en scène après un long refrain. Cela dit, ça fonctionne ! La prod est bonne et le rappeur talentueux ! On passe donc un moment dans le coton avant d’enchainer sur le troisième titre.
Nissan Skyline ouvre sur une prod typée Harry Fraud sur laquelle Stalley s’énerve un peu plus que sur le son précédent, ça y est il est réveillé ! Les backages apporte une dimension lunaire au titre qui offre un véritable décollage jusqu’à la piste suivante (Le feat PJK est anecdotique car présent uniquement sur le refrain et que Stalley maîtrise pleinement cet exercice).
Il faut attendre Glass Garages pour avoir affaire à du rap plus « classique ». Sample soul, breaks, drops, flow (re)bondissant, bref tout les ingrédients d’un bon cocktail de hip-hop. Le cinquième morceau c’est un peu la même chose que le quatrième mais avec un sample différent…
Avec Playa Way, on reviens à la structure de la première moitié du projet (son éthéré, refrain à la Chris Brown, flow lancinant) en y ajoutant la partie backages de la seconde.
Stap Signs c’est le retour du pas forcément indispensable PJK, le morceau à l’image de la collaboration n’est pas forcément indispensable lui non plus.
Conclusion : Ce projet est plaisant, mais n’apporte rien. Ni jouissif, ni mauvais on ne passe pas un mauvais moment à son écoute mais on l’oubli aussi rapidement que la vitesse à laquelle les titres s’enchaine. J’ai dû l’écouter cinquante fois avant d’écrire dessus. Il ne restera pas dans mon dd cela dit je ne serai pas mécontent de l’entendre au détour d’une soirée.
Ps: Je tiens à préciser que Stalley est l’un des seul rappeur au monde à sourire dans ses clips et rien que pour ça il à toute ma sympathie
Mill Burray