Après s’être fait remarqué sur le remix de « Flava In Ya Ear » aux cotés de Craig Mack, Puff, LL, Busta Rhymes et Rampage, puis avoir fait une apparition sur « Real Love » de Mary J.Blige ou encore avec « Party & Bullshit », tout le monde attendait l’album de Notorious B.I.G. alias Biggie Smalls. Chaque chanson de l’album raconte l’histoire d’un jeune du ghetto US qui doit se battre pour survivre. Si vous cherchez une poésie abstraite ou un discours profond, vous vous êtes trompé d’homme. Dans « Gimme The Loot », il dit : « Goodness gracious, the papers! / Where the Cash At ? / Where the stash at ? / Nigga pass that ». C’est la vie. Si vous cherchez un discours politiquement correcte, mauvaise pioche.
Le super-duo avec Method Man « The What » contient un slogan qui a fait fureur aux USA « F*ck The World, dont ask me for sh!t / And everything ya get, ya gotta work hard for it (honey shake ya hips) / ya don’t stop (and n!gga pack the clips) / Keep On ». Histoire de plaire aux radios, Puff Daddy lui assure des beats de folie avec des refrains familiers comme « Juicy » qui reprend « Juicy Fruit » de Mtume, « Big Poppa » qui reprend « Between The Sheets » des Isley Brothers, « Respect », une reprise de « I Get Lifted » de KC & The Sunshine Band, « Me & My Bitch » samplé sur « Computer Love » de Zapp & Roger.
Les faces B ont été riches pour cet album avec notamment le remix de « One More Chance » avec Faith Evans qui s’est propulsé numéro 1 des charts US ou encore le remix de « Big Poppa » par Jermaine Dupri, sans oublier « Who Shot Ya », un classique du genre. Donc si vous voulez vous sentir dur à travers les paroles des autres ou si vous êtes vous même dans la galère et aussi si vous aimez le rap, cet album est fait pour vous.
Wbr
Après s’être fait remarqué sur le remix de « Flava In Ya Ear » aux cotés de Craig Mack, Puff, LL, Busta Rhymes et Rampage, puis avoir fait une apparition sur « Real Love » de Mary J.Blige ou encore avec « Party & Bullshit », tout le monde attendait l’album de Notorious B.I.G. alias Biggie Smalls. Chaque chanson de l’album raconte l’histoire d’un jeune du ghetto US qui doit se battre pour survivre. Si vous cherchez une poésie abstraite ou un discours profond, vous vous êtes trompé d’homme. Dans « Gimme The Loot », il dit : « Goodness gracious, the papers! / Where the Cash At ? / Where the stash at ? / Nigga pass that ». C’est la vie. Si vous cherchez un discours politiquement correcte, mauvaise pioche.
Le super-duo avec Method Man « The What » contient un slogan qui a fait fureur aux USA « F*ck The World, dont ask me for sh!t / And everything ya get, ya gotta work hard for it (honey shake ya hips) / ya don’t stop (and n!gga pack the clips) / Keep On ». Histoire de plaire aux radios, Puff Daddy lui assure des beats de folie avec des refrains familiers comme « Juicy » qui reprend « Juicy Fruit » de Mtume, « Big Poppa » qui reprend « Between The Sheets » des Isley Brothers, « Respect », une reprise de « I Get Lifted » de KC & The Sunshine Band, « Me & My Bitch » samplé sur « Computer Love » de Zapp & Roger.
Les faces B ont été riches pour cet album avec notamment le remix de « One More Chance » avec Faith Evans qui s’est propulsé numéro 1 des charts US ou encore le remix de « Big Poppa » par Jermaine Dupri, sans oublier « Who Shot Ya », un classique du genre. Donc si vous voulez vous sentir dur à travers les paroles des autres ou si vous êtes vous même dans la galère et aussi si vous aimez le rap, cet album est fait pour vous.
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