Creepytings, la Street Artist qui vandalise les site naturels protégés
octobre 30, 2014 (No Comments) by Clélia Six

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Casey Nocket, c’est la jeune américaine de 21 ans qui fait parler d’elle depuis quelques semaines aux Etats-Unis ! Dans une dizaine de sites naturels américains protégés dont le parc national de Yosemite, la vallée de la Mort ou encore le Grand Canyon, elle a décidé de laisser sa trace en peignant des visages atypiques.

C’est sous le pseudonyme “Creepytings » que la street artiste signe ses œuvres en plein air et elle avait réussi à garder l’anonymat jusqu’à ce que des gardes forestiers de plusieurs parcs nationaux américains ont commencé à mener l’enquête. A seulement 21 ans, l’américaine fait l’objet de polémiques en postant les photos de ses créations sur son compte instagram en revendiquant qu’il s’agissait d’art et non pas de vandalisme.

A l’heure actuelle où le sujet est toujours sensible, on en vient à se demander si affirmer sa créativité en pleine nature, qui plus est en plein cœur de sites naturels protégés, ne serait pas simplement un acte provocateur, contrairement à ce qu’affirme l’artiste !

De nombreux américains sont d’ailleurs contre cette femme et le font savoir en signant une pétition. Ainsi, 11 000 signataires sur le site “We are people”, hébergé par la Maison-Blanche, n’hésitent pas à donner leur avis :

« Casey Nocket a voyagé dans l’ouest des États-Unis, vandalisant des parcs nationaux et des monuments nationaux avec son “art”. Elle savait qu’elle n’était pas dans son droit lorsqu’elle utilisait la peinture acrylique. Elle a répondu à une des questions sur Instagram au sujet du matériel qu’elle utilisait par : “Je sais, je suis une mauvaise personne“. »

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Bien que la jeune femme ait pris conscience de ses actes et semble les regretter, les signataires de la pétition attendent à ce que les autorités la poursuivent avec “les charges d’accusations les plus sérieuses possibles pour ces infractions“. Ce genre d’acte a beau être un moyen d’expression libre, les conséquences sont véritablement importantes puisque les coûts pour effacer ces œuvres s’élèvent à plusieurs centaines de milliers de dollars chaque année, d’après The Daily Caller.

Aucune information n’a été révélée jusqu’à maintenant mais pour le moment, Casey Nocket risque jusqu’à un an de prison et/ou une amende de 20 000 dollars. Il y a de quoi s’inquiéter, surtout pour une fille d’à peine 21 ans.

Clélia Six,

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Casey Nocket, c’est la jeune américaine de 21 ans qui fait parler d’elle depuis quelques semaines aux Etats-Unis ! Dans une dizaine de sites naturels américains protégés dont le parc national de Yosemite, la vallée de la Mort ou encore le Grand Canyon, elle a décidé de laisser sa trace en peignant des visages atypiques.

C’est sous le pseudonyme “Creepytings » que la street artiste signe ses œuvres en plein air et elle avait réussi à garder l’anonymat jusqu’à ce que des gardes forestiers de plusieurs parcs nationaux américains ont commencé à mener l’enquête. A seulement 21 ans, l’américaine fait l’objet de polémiques en postant les photos de ses créations sur son compte instagram en revendiquant qu’il s’agissait d’art et non pas de vandalisme.

A l’heure actuelle où le sujet est toujours sensible, on en vient à se demander si affirmer sa créativité en pleine nature, qui plus est en plein cœur de sites naturels protégés, ne serait pas simplement un acte provocateur, contrairement à ce qu’affirme l’artiste !

De nombreux américains sont d’ailleurs contre cette femme et le font savoir en signant une pétition. Ainsi, 11 000 signataires sur le site “We are people”, hébergé par la Maison-Blanche, n’hésitent pas à donner leur avis :

« Casey Nocket a voyagé dans l’ouest des États-Unis, vandalisant des parcs nationaux et des monuments nationaux avec son “art”. Elle savait qu’elle n’était pas dans son droit lorsqu’elle utilisait la peinture acrylique. Elle a répondu à une des questions sur Instagram au sujet du matériel qu’elle utilisait par : “Je sais, je suis une mauvaise personne“. »

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Bien que la jeune femme ait pris conscience de ses actes et semble les regretter, les signataires de la pétition attendent à ce que les autorités la poursuivent avec “les charges d’accusations les plus sérieuses possibles pour ces infractions“. Ce genre d’acte a beau être un moyen d’expression libre, les conséquences sont véritablement importantes puisque les coûts pour effacer ces œuvres s’élèvent à plusieurs centaines de milliers de dollars chaque année, d’après The Daily Caller.

Aucune information n’a été révélée jusqu’à maintenant mais pour le moment, Casey Nocket risque jusqu’à un an de prison et/ou une amende de 20 000 dollars. Il y a de quoi s’inquiéter, surtout pour une fille d’à peine 21 ans.

Clélia Six,

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