DFHDGB aka « Des Faux Hipsters et des Grosses Bites » viennent de livrer un clip pour le morceau « Strip Club (Lola’s Song) », tiré de leur premier EP « Ne Pleurez Pas Mademoiselle », toujours disponible. Lofty305 (Metro Zu) assure un couplet sur le morceau, et la prod est signée Robotnik.
La bande parisienne, composée des jeunes rappeurs Hyacinthe et L.O.A.S, et du producteur Krampf a fait du trash et du salace tendance macho sa marque de fabrique, dans la lignée de TTC ou des débuts d’Orelsan. C’est souvent drôle, parfois romantique, toujours provocateur.
Dans les textes de DFHDGB se côtoient la drogue, la mort, les filles, et bien-sûr le sexe, personnalisé par leurs sacro-saints organes génitaux.
Oscillant entre poésie et vulgarité, « Strip Club » contient les mêmes ingrédients. Le morceau est servi par un clip lascif dans un strip club psychédélique, ambiance lumière rouge et tenancier tordu, avec des poules en guest star (les seules qui se dénudent, ou plutôt se déplument dans la vidéo).
Hipsters post-ados ou poètes des temps modernes, DFHDGB joue avec les paradoxes et tente d’accorder ses contradictions. Et ça marche plutôt bien. Le crew a pour ambition de faire de la musique actuelle, et est certainement le reflet d’une partie du monde contemporain. De là à dire que leur musique est véritablement novatrice, il y a un pas que nous ne franchirons pas. Pas sûr en effet que la musique avait besoin de nouveaux TTC.
Dans ce morceau, L.O.A.S dit « j’écrase les pieds du rap game avant d’entrer ». A voir maintenant si les jeunes emcees y trouvent vraiment leur place au fil du temps.
DFHDGB aka « Des Faux Hipsters et des Grosses Bites » viennent de livrer un clip pour le morceau « Strip Club (Lola’s Song) », tiré de leur premier EP « Ne Pleurez Pas Mademoiselle », toujours disponible. Lofty305 (Metro Zu) assure un couplet sur le morceau, et la prod est signée Robotnik.
La bande parisienne, composée des jeunes rappeurs Hyacinthe et L.O.A.S, et du producteur Krampf a fait du trash et du salace tendance macho sa marque de fabrique, dans la lignée de TTC ou des débuts d’Orelsan. C’est souvent drôle, parfois romantique, toujours provocateur.
Dans les textes de DFHDGB se côtoient la drogue, la mort, les filles, et bien-sûr le sexe, personnalisé par leurs sacro-saints organes génitaux.
Oscillant entre poésie et vulgarité, « Strip Club » contient les mêmes ingrédients. Le morceau est servi par un clip lascif dans un strip club psychédélique, ambiance lumière rouge et tenancier tordu, avec des poules en guest star (les seules qui se dénudent, ou plutôt se déplument dans la vidéo).
Hipsters post-ados ou poètes des temps modernes, DFHDGB joue avec les paradoxes et tente d’accorder ses contradictions. Et ça marche plutôt bien. Le crew a pour ambition de faire de la musique actuelle, et est certainement le reflet d’une partie du monde contemporain. De là à dire que leur musique est véritablement novatrice, il y a un pas que nous ne franchirons pas. Pas sûr en effet que la musique avait besoin de nouveaux TTC.
Dans ce morceau, L.O.A.S dit « j’écrase les pieds du rap game avant d’entrer ». A voir maintenant si les jeunes emcees y trouvent vraiment leur place au fil du temps.