« Du Sang sur ma Feuille » de Kamelancien, mon SOTD, qui figure sur son album « Coupé du Monde ».
Un clip engagé qui fait honneur aux lyrics toujours d’actualité du rappeur.
Rappelons qu’en 2008, son album « Le frisson de la vérité », nous avait dévoilé un Kamelancien lyriciste qui n’hésite plus à rapper sa rage et sa colère à travers des textes plus que frissonnants. Avec « Coupé du Monde », son rap et sa voix ont mûri considérablement.
La mise en scène du clip est simple mais pleine de signification, notamment avec un élément clé et central : une télévision.
Symbole puissant qui reflète l’image d’une société instable et pleine de doute. La télévision sert également à illustrer tout au long du clip les paroles de Kamelancien.
C’est à travers un décor sombre et historique, aux allures de sous-sols d’un château, que Kamelancien déverse du sang sur sa feuille au sens propre du terme.
Le seul hic que je pourrais emettre est que même si le titre est bon, Kamelanc’ doit dépasser le stade de la victimisation des banlieusards. Les thèmes depuis son premier album « Le charme en personne » reste inchangés, entre le racisme et la discrimination.
Bref, un bon son du jour, pour bien commencer la journée!
« Du Sang sur ma Feuille » de Kamelancien, mon SOTD, qui figure sur son album « Coupé du Monde ».
Un clip engagé qui fait honneur aux lyrics toujours d’actualité du rappeur.
Rappelons qu’en 2008, son album « Le frisson de la vérité », nous avait dévoilé un Kamelancien lyriciste qui n’hésite plus à rapper sa rage et sa colère à travers des textes plus que frissonnants. Avec « Coupé du Monde », son rap et sa voix ont mûri considérablement.
La mise en scène du clip est simple mais pleine de signification, notamment avec un élément clé et central : une télévision.
Symbole puissant qui reflète l’image d’une société instable et pleine de doute. La télévision sert également à illustrer tout au long du clip les paroles de Kamelancien.
C’est à travers un décor sombre et historique, aux allures de sous-sols d’un château, que Kamelancien déverse du sang sur sa feuille au sens propre du terme.
Le seul hic que je pourrais emettre est que même si le titre est bon, Kamelanc’ doit dépasser le stade de la victimisation des banlieusards. Les thèmes depuis son premier album « Le charme en personne » reste inchangés, entre le racisme et la discrimination.
Bref, un bon son du jour, pour bien commencer la journée!