La plus haute fresque d’Europe – peinte en 3 étapes par Pantónio – atteint les 66 mètres de haut, selon Jérôme Thomas. Le réalisateur prépare un documentaire sur les peintures monumentales.
Son comparse Katre, mais aussi Jace, Marko93, Astro, Seth, Kouka, Stew et C215 font partie des Français invités à passer à l’écran. Chez les étrangers on retrouvera notamment des Espagnols (Borondo, Spy, Btoy), des Portugais (Pantónio, Vhils), un Allemand (Madc) et un Chilien (Inti). Des artistes qui viennent de pays et d’écoles artistiques diverses: Peinture, Pochoirisme, Graffiti, Design… Leur seul point commun, ils raffolent tous du très grand format.
Comme dans les meilleures vidéos de graffiti, la parole est donnée aux habitants pour montrer, à travers leur ressenti, que le rôle de cet art dans les villes et les quartiers (Vitry-sur-Seine, Aulnay-sous-Bois, Pantins, Paris 13ème…) n’est pas anodin, et n’est pas sans impact sur la société. « Cela donne de grands moments d’humanité. La peinture est un véritable liant social, explique le réalisateur, il crée la discussion là où souvent le manque de communication et l’anonymat règnent. Némo déclarait dans Le Parisien: Je veux que les gens lèvent les yeux au ciel, j’en ai marre des regards baissés. »
En matière de verticalité, la capitale n’est pas en reste avec des projets comme la Tour Paris 13. Quelques 25.000 personnes s’y sont déplacés pour admirer le travail de 80 artistes internationaux. Mehdi Ben Cheikh ouvre la voie avec une coulure orange fluo le long de l’immeuble pressentant une exposition secrète. Katre lui emboite le pas avec un collage en trompe-l’œil « créant un effet de futur immédiat, d’anticipation architecturale », annonçant déjà la ruine.
Peindre en extérieur procure des sensations jouissives et la hauteur apporte un supplément d’adrénaline non négligeable. Tributaire des conditions météorologiques, des contraintes réglementaires, l’artiste du haut de sa nacelle établit un véritable atelier à ciel ouvert, au vertige garantit, note Jérôme Thomas.
Lui même artiste graffiti (il est l’un des fondateurs du crew STS), le réalisateur Jérôme Thomas n’en est pas à sa première production de documentaire. Ses films « Traits Portraits » avec Miss Tic, l’Atlas et Nassyo et « Minutes Magiques » sur la tournée d’Oxmo Puccino ont été diffusés sur Gameone. « Home studio » sur la création musicale devenue accessible à domicile a été vu sur plusieurs festivals. « Sky’s the limit » sera son sixième documentaire de 52 minutes.
C’est la première fois qu’il fait appel au financement participatif pour une de ses réalisations. « Plusieurs raisons à cela, précise-t-il. Le documentaire est un format long qui coûte cher et rapporte peu. Je voulais prendre mon temps pour filmer au mieux ces artistes qui me fascinent. Une production classique (« boite de production » et diffuseur télé) ne m’aurait pas permis de réaliser au mieux ce projet titanesque ».
L’objectif initial de 5000 euros a été atteint. Les prochains caps seront donc le pressage de 500 dvds promo (cap des 6000€) et l’embauche d’un(e) attaché(e) de presse pour la promotion du film dans les festivals nationaux et internationaux, et l’organisation d’une tournée de projection en France (cap des 7000€).
On lui souhaite bonne chance !
La plus haute fresque d’Europe – peinte en 3 étapes par Pantónio – atteint les 66 mètres de haut, selon Jérôme Thomas. Le réalisateur prépare un documentaire sur les peintures monumentales.
Son comparse Katre, mais aussi Jace, Marko93, Astro, Seth, Kouka, Stew et C215 font partie des Français invités à passer à l’écran. Chez les étrangers on retrouvera notamment des Espagnols (Borondo, Spy, Btoy), des Portugais (Pantónio, Vhils), un Allemand (Madc) et un Chilien (Inti). Des artistes qui viennent de pays et d’écoles artistiques diverses: Peinture, Pochoirisme, Graffiti, Design… Leur seul point commun, ils raffolent tous du très grand format.
Comme dans les meilleures vidéos de graffiti, la parole est donnée aux habitants pour montrer, à travers leur ressenti, que le rôle de cet art dans les villes et les quartiers (Vitry-sur-Seine, Aulnay-sous-Bois, Pantins, Paris 13ème…) n’est pas anodin, et n’est pas sans impact sur la société. « Cela donne de grands moments d’humanité. La peinture est un véritable liant social, explique le réalisateur, il crée la discussion là où souvent le manque de communication et l’anonymat règnent. Némo déclarait dans Le Parisien: Je veux que les gens lèvent les yeux au ciel, j’en ai marre des regards baissés. »
En matière de verticalité, la capitale n’est pas en reste avec des projets comme la Tour Paris 13. Quelques 25.000 personnes s’y sont déplacés pour admirer le travail de 80 artistes internationaux. Mehdi Ben Cheikh ouvre la voie avec une coulure orange fluo le long de l’immeuble pressentant une exposition secrète. Katre lui emboite le pas avec un collage en trompe-l’œil « créant un effet de futur immédiat, d’anticipation architecturale », annonçant déjà la ruine.
Peindre en extérieur procure des sensations jouissives et la hauteur apporte un supplément d’adrénaline non négligeable. Tributaire des conditions météorologiques, des contraintes réglementaires, l’artiste du haut de sa nacelle établit un véritable atelier à ciel ouvert, au vertige garantit, note Jérôme Thomas.
Lui même artiste graffiti (il est l’un des fondateurs du crew STS), le réalisateur Jérôme Thomas n’en est pas à sa première production de documentaire. Ses films « Traits Portraits » avec Miss Tic, l’Atlas et Nassyo et « Minutes Magiques » sur la tournée d’Oxmo Puccino ont été diffusés sur Gameone. « Home studio » sur la création musicale devenue accessible à domicile a été vu sur plusieurs festivals. « Sky’s the limit » sera son sixième documentaire de 52 minutes.
C’est la première fois qu’il fait appel au financement participatif pour une de ses réalisations. « Plusieurs raisons à cela, précise-t-il. Le documentaire est un format long qui coûte cher et rapporte peu. Je voulais prendre mon temps pour filmer au mieux ces artistes qui me fascinent. Une production classique (« boite de production » et diffuseur télé) ne m’aurait pas permis de réaliser au mieux ce projet titanesque ».
L’objectif initial de 5000 euros a été atteint. Les prochains caps seront donc le pressage de 500 dvds promo (cap des 6000€) et l’embauche d’un(e) attaché(e) de presse pour la promotion du film dans les festivals nationaux et internationaux, et l’organisation d’une tournée de projection en France (cap des 7000€).
On lui souhaite bonne chance !