Un collectif d’artistes imagine des suites pour des films cultes !
novembre 19, 2014 (No Comments) by Blvck Zez

math

« Sequel » est un collectif d’artistes américain plutôt imaginatif. La plupart des « blockbusters » au cinéma ont droit à une suite, voire plusieurs…Terminator, X-Men, Iron Men sont autant de succès dans les salles qui ressemblent à une histoire sans fin. Faire des suites n’est pas un travail de tout repos pour un scénariste. Quelque fois l’exercice peut même être plutôt périlleux. Mais pour un artiste c’est peut être du pain béni. 50 artistes ont créé une suite à des films qui n’en ont pas connu en imaginant les affiches de ces long métrages cultes.

 N’avez-vous jamais rêvé de voir la suite de « Réservoir Dogs » de Quentin Tarantino… ou encore le second opus de A.I de Steven Spielberg. Et bien, un collectif d’artiste américain s’est amusé à trouver une suite à tous ces films qui ont bercé vos longues soirées d’hiver. Toujours jouissif de retrouver Nathalie Portman devenue belle et élégante dans le deuxième volet de « Léon » de Luc Besson baptisé « Mathilda » pour l’occasion.

72dpi_Rafael_Gil-A.I.2-719x1080

 

L’exercice est loin d’être un cas isolé. Dernièrement, l’Hotel de Ville a Paris avait accueilli l’exposition « The Parisianer ». Dans le cadre de ce projet, un groupe d’artiste a été invité à créer la couverture d’un magazine imaginaire « The Parisianer » sur le modèle du  » The NewYorker ». L’exposition n’a pas connu un grand bruit. Elle a toutefois réussi à illustrer l’identité visuelle de la capitale dans toutes ses variantes même si le style se mêlait souvent au Pop Art.

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Dans tous les cas, les films choisis par les artistes de « Sequel » ont une signification dans l’imaginaire collectif. Elle représente une part d’éducation, ou même un fragment de souvenir, qui est commun au monde occidental. En imaginant la suite d’un film culte, les artistes font évoluer l’oeuvre avec le temps. Ils adaptent le thème principal du film à notre univers. Par exemple, 1984 inspiré du roman de science-fiction de Georges Orwell, véritable brûlot anti-fasciste d’où nous vient l’expression de « Big Brother », devient 2084. Et dans 2084, le film met l’accent sur la dictature des réseaux sociaux. Un thème insaisissable il y a 50 ans même si Orwell au fond avait tout vu.

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Mazdak Vafaei Shalmani

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« Sequel » est un collectif d’artistes américain plutôt imaginatif. La plupart des « blockbusters » au cinéma ont droit à une suite, voire plusieurs…Terminator, X-Men, Iron Men sont autant de succès dans les salles qui ressemblent à une histoire sans fin. Faire des suites n’est pas un travail de tout repos pour un scénariste. Quelque fois l’exercice peut même être plutôt périlleux. Mais pour un artiste c’est peut être du pain béni. 50 artistes ont créé une suite à des films qui n’en ont pas connu en imaginant les affiches de ces long métrages cultes.

 N’avez-vous jamais rêvé de voir la suite de « Réservoir Dogs » de Quentin Tarantino… ou encore le second opus de A.I de Steven Spielberg. Et bien, un collectif d’artiste américain s’est amusé à trouver une suite à tous ces films qui ont bercé vos longues soirées d’hiver. Toujours jouissif de retrouver Nathalie Portman devenue belle et élégante dans le deuxième volet de « Léon » de Luc Besson baptisé « Mathilda » pour l’occasion.

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L’exercice est loin d’être un cas isolé. Dernièrement, l’Hotel de Ville a Paris avait accueilli l’exposition « The Parisianer ». Dans le cadre de ce projet, un groupe d’artiste a été invité à créer la couverture d’un magazine imaginaire « The Parisianer » sur le modèle du  » The NewYorker ». L’exposition n’a pas connu un grand bruit. Elle a toutefois réussi à illustrer l’identité visuelle de la capitale dans toutes ses variantes même si le style se mêlait souvent au Pop Art.

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Dans tous les cas, les films choisis par les artistes de « Sequel » ont une signification dans l’imaginaire collectif. Elle représente une part d’éducation, ou même un fragment de souvenir, qui est commun au monde occidental. En imaginant la suite d’un film culte, les artistes font évoluer l’oeuvre avec le temps. Ils adaptent le thème principal du film à notre univers. Par exemple, 1984 inspiré du roman de science-fiction de Georges Orwell, véritable brûlot anti-fasciste d’où nous vient l’expression de « Big Brother », devient 2084. Et dans 2084, le film met l’accent sur la dictature des réseaux sociaux. Un thème insaisissable il y a 50 ans même si Orwell au fond avait tout vu.

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