Sur les traces d’un Flying Lotus ou d’un SBTRKT, Woodini perçoit la musique comme des sables mouvants où l’immobilisme devance la mort artistique. De «Purple Lady», premier extrait aux accents de HipHop électronifié à «WetWall» et ses voix syncopées à la «Mount Kimbie», Woodini expérimente, revêt les immeubles d’écorces et transforme les cables en racines. Nous voici plongé dans un bain de couleurs qui ouvre la voie à un premier album à paraître printemps 2012.
Sur les traces d’un Flying Lotus ou d’un SBTRKT, Woodini perçoit la musique comme des sables mouvants où l’immobilisme devance la mort artistique. De «Purple Lady», premier extrait aux accents de HipHop électronifié à «WetWall» et ses voix syncopées à la «Mount Kimbie», Woodini expérimente, revêt les immeubles d’écorces et transforme les cables en racines. Nous voici plongé dans un bain de couleurs qui ouvre la voie à un premier album à paraître printemps 2012.