Alors que les manifestations contre les homicides de Micheal Brown, Eric Garder et Tamir Rice continuent à travers les Etats-Unis, de plus en plus de célébrités offrent leur opinion sur le sujet. LeBron James et d’autres joueurs de NBA ont ainsi fait les gros titres en portant des T-shirts « I Can’t Breathe » (le slogan des manifestants, en référence aux derniers mots prononcés par Eric Gardner), et des artistes comme Stevie Wonder, Azelia Banks et Killer Mike ont eux aussi apporté leur soutient à la contestation.
Dernier en date, 50 Cent s’est lui aussi exprimé sur les rapports entre la police et la population des quartiers, ainsi que sur la remise en liberté des officiers mis en examen. Dans les colonnes du New York Daily News, il a partagé un point de vue modéré, qui se veut lucide avant tout : « Je suis discret quant à mon opinion, parce que je n’ai pas toutes les informations sur ces événements. J’ai vu des gens prendre des décisions à mon sujet sans savoir ce que j’en pensais. Ce n’est pas vraiment juste de parler quand on ne sait pas. »
Des propos nourri par sa propre expérience. 50 a en effet grandi dans le Queens, où il a été mêlé à des histoire de drogues. De nombreux déboires judiciaires qui ont changé sa perspective sur les bavures policières.
« J’ai grandi dans un environnement où beaucoup de gens, c’est un fait, ont des intentions criminelles, ce qui pousse à la défensive d’un côté, tout en augmentant le niveau d’agressivité de l’autre, c’est un équilibre. (…) Il y a le vrai et le faux, souvent quand on regarde les choses de plus près on y voit une zone grise. »
Une déclaration pleine de retenue, qui détonne avec celles de ses collègues. Alors que les tensions sont à leur comble, 50 Cent fait preuve d’un recul que l’on attendait pas forcément de sa part.
Alors que les manifestations contre les homicides de Micheal Brown, Eric Garder et Tamir Rice continuent à travers les Etats-Unis, de plus en plus de célébrités offrent leur opinion sur le sujet. LeBron James et d’autres joueurs de NBA ont ainsi fait les gros titres en portant des T-shirts « I Can’t Breathe » (le slogan des manifestants, en référence aux derniers mots prononcés par Eric Gardner), et des artistes comme Stevie Wonder, Azelia Banks et Killer Mike ont eux aussi apporté leur soutient à la contestation.
Dernier en date, 50 Cent s’est lui aussi exprimé sur les rapports entre la police et la population des quartiers, ainsi que sur la remise en liberté des officiers mis en examen. Dans les colonnes du New York Daily News, il a partagé un point de vue modéré, qui se veut lucide avant tout : « Je suis discret quant à mon opinion, parce que je n’ai pas toutes les informations sur ces événements. J’ai vu des gens prendre des décisions à mon sujet sans savoir ce que j’en pensais. Ce n’est pas vraiment juste de parler quand on ne sait pas. »
Des propos nourri par sa propre expérience. 50 a en effet grandi dans le Queens, où il a été mêlé à des histoire de drogues. De nombreux déboires judiciaires qui ont changé sa perspective sur les bavures policières.
« J’ai grandi dans un environnement où beaucoup de gens, c’est un fait, ont des intentions criminelles, ce qui pousse à la défensive d’un côté, tout en augmentant le niveau d’agressivité de l’autre, c’est un équilibre. (…) Il y a le vrai et le faux, souvent quand on regarde les choses de plus près on y voit une zone grise. »
Une déclaration pleine de retenue, qui détonne avec celles de ses collègues. Alors que les tensions sont à leur comble, 50 Cent fait preuve d’un recul que l’on attendait pas forcément de sa part.