Les morts tragiques des jeunes Noirs Mike Brown et Eric Gardner n’aura pas seulement fait descendre les gens dans la rue. Elles ont aussi énormément ému D’Angelo, à tel point qu’il a sorti son troisième album, Black Messiah, de manière inattendue.
D’après le New York Times, le crooner a voulu apporter sa contribution au mouvement qui anime actuellement l’Amérique. Il a donc décidé d’avancer la date de sortie de son album, en réponse aux manifestations. Un changement de calendrier qui ne s’est pas fait mal. D’angelo a en effet dû enchaîner un mois de nuit blanche pour finaliser ses titres et dessiner la cover afin de pouvoir le sortir à temps. Les pontes de RCA Records n’ont même pas écouté l’album avant qu’il soit lâché, et l’on donc découvert en même temps que tout le monde, le 14 décembre.
Originellement prévu pour 2015, Black Messiah a donc suivi l’exemple de Beyoncé. Lâché de manière sauvage dans la nature, sans promo ni single au préalable. Mais c’était plus par nécessité que par choix. D’Angelo a même enregistré ses 12 pistes sur 200 bobines plutôt qu’en digital, ce qui « demande plus que le budget habituel d’un projet entier », d’après son ingé Russel Elevado.
Les morts tragiques des jeunes Noirs Mike Brown et Eric Gardner n’aura pas seulement fait descendre les gens dans la rue. Elles ont aussi énormément ému D’Angelo, à tel point qu’il a sorti son troisième album, Black Messiah, de manière inattendue.
D’après le New York Times, le crooner a voulu apporter sa contribution au mouvement qui anime actuellement l’Amérique. Il a donc décidé d’avancer la date de sortie de son album, en réponse aux manifestations. Un changement de calendrier qui ne s’est pas fait mal. D’angelo a en effet dû enchaîner un mois de nuit blanche pour finaliser ses titres et dessiner la cover afin de pouvoir le sortir à temps. Les pontes de RCA Records n’ont même pas écouté l’album avant qu’il soit lâché, et l’on donc découvert en même temps que tout le monde, le 14 décembre.
Originellement prévu pour 2015, Black Messiah a donc suivi l’exemple de Beyoncé. Lâché de manière sauvage dans la nature, sans promo ni single au préalable. Mais c’était plus par nécessité que par choix. D’Angelo a même enregistré ses 12 pistes sur 200 bobines plutôt qu’en digital, ce qui « demande plus que le budget habituel d’un projet entier », d’après son ingé Russel Elevado.